« quelque part dans le temps, la voix de Joan Baez flotte au-dessus de la ville, elle chante une chanson de Dylan, en fait ressortir toute la beauté, le côté yin. devant moi, une reproduction d’un Mikey de Paul Édouard Bourque. j’essaye de trouver un fil en ce lieu à la fois si étrange et familier. j’essaye de comprendre la nuit. rouge. de comprendre le rouge. » Gérald Leblanc, rouge, 1984.